Jack l’Eventreur - Visites, les meilleures activités et visites
Jeu d'exploration et visite de Londres Jack l'Éventreur
Partez pour une visite à pied amusante de Londres sur Jack The Ripper où vous suivrez des indices pour découvrir des lieux incroyables et des histoires locales à l'aide de votre smartphone.
en
Visite de Jack l'Éventreur à Londres et dans l'East End Crime
Réservez votre visite de Jack l'Éventreur à Londres et dans l'East End Crime et découvrez l'histoire de Jack l'Éventreur et de la vague de criminalité du XIXe siècle dans l'East End.
en
The Jack the Ripper guided tour with Ripper Vision
Book the Jack the ripper guided tour with Ripper Vision, visualize 1888 London Whitechapel, immerse yourself in the murder sites and learn about the victims and suspects.
en
Visite guidée à pied de 2 heures de Jack l'Éventreur à Londres
Réservez maintenant et découvrez le Londres de Jack l'Éventreur avec une visite guidée effrayante. Parcourez les scènes de crime et plongez dans le mystère.
en
Le top des attractions à Londres
Ces activités pourraient vous intéresser
Pour la petite histoire
C’est probablement le fait divers le plus obscur, le plus complexe et le plus intrigant de tous les temps. Qui n’a pas été à la fois bouleversé et fasciné par l’histoire de Jack l’Eventreur ? Des milliers d’articles de journaux, d’émissions de télévision, de livres et de films en parlent depuis plus d’un siècle maintenant et c’est donc seulement en 2014, après plus de 126 ans, que la plus grande énigme de l’histoire anglaise semblerait avoir été enfin résolue.
Les techniques modernes d’investigation ont en effet permis d'isoler l’ADN de l’un des vieux suspects sur le châle de l’une des victimes du serial killer, en l’occurrence la prostituée Catherine Eddowes, sauvagement assassinée le 30 septembre 1888 à Whitechapel. Il semblerait donc que Jack l’Eventreur ait finalement un visage et un nom : celui d’Aaron Kominski, un barbier d’origine modeste, alors âgés de 23 ans. Pour les enquêteurs de l’époque, le jeune homme, possédant de fortes tendances à l’homicide, nourrissait assurément une profonde haine envers les femmes. En l’absence de preuves et en dépit des présomptions, ils ne réussirent pourtant jamais à coincer ce dernier. Il mourut dès lors impuni, en 1899, pour maladie, dans un asile de fous.